LES POÈMES DU COEUR (cliquez sur le titre pour lire le poème)

 

                                                    Les poèmes du coeur

 

 

Le vent se lève mais il faut survivre car je suis là dans tes bras, dans ton cœur,

Dans ton amour infini.

 

Je pleure, je rie, je larmoie, ainsi va la vie. Les dragons, les fées, et les rois, c’est beau

c’est beau c’est ma vie, ma vie à moi seule.

 

Mais quand le vent se lève, quand l’orage éclate et que la pluie tombe, je meurs, je pleure, les fantômes encombrent ma chambre, les vampires me mordent et la mort vient me chercher.

 

L’eau monte, et le vent monte, les paysages sont détruits, les montagnes ne se voient plus, des fois je me sens seule, tout au fond d’un trou noir.

 

Mais quand le soleil vient, quand la pluie s’en va, le bonheur me revient. Je me sens nouvelle, dans une nouvelle saison, dans la saison du bonheur.

 

Quand je suis fatiguée, quand je suis usée, je tombe par terre, et je vais dans le pays des rêves.

 

Même si tu penses que je suis loin de toi  je suis près de toi, je vole dans le bleu du ciel au-dessus de ta maison. Dans les nuages gris, bleus, et blanc, dans la vapeur d’eau des nuages.

 

Les merles chantent pour toi, les souris papotent pour toi, les pics verts font bank bank pour toi, tous les animaux chantent pour toi, et moi je suis là pour toi.

 

Dès que je suis heureuse tous mes ennuis s’envolent, tous mes malheurs disparaissent, pour laisser place à ma joie, et ma joie elle est grosse, tellement grosse qu’il n’y a pas la place pour les deux.

 

La mer est là, la forêt amazonienne est là, la tour Eiffel est là, tous les endroits connus sont là, dans mon cœur, dans ma beauté intérieure.

 

Quand je suis triste, je pleure, je larmoie je tombe dans la mer, la mer de larmes.

 

Il y a des moments pour vivre et des moments pour écrire, des moments pour voir  et des moments pour fêter, tous ces moments sont drôles, tristes, et joyeux.

 

Un éléphant, deux éléphants, trois éléphants, quatre éléphants, cinq éléphants, les éléphants ne vivent jamais seuls.

 

Quand je ne sais plus quoi écrire, quand je ne sais plus quoi faire, quand je n’ai pas envie de bouger, je m’ennuie, je regarde la pluie tomber, je souffle puis je ferme les yeux et je m’endors.

 

Je suis sur une île déserte, sous les cocotiers en écoutant la mer,  on dirait que la mer veut me parler, je ferme les yeux pour mieux entendre cette voie, puis bercée par la mer je dors profondément.

 

La pluie c’est gris,

La pluie c’est triste,

La pluie c’est de l’eau,

La pluie c’est gris, triste et c’est de l’eau.

 

La forêt, les oiseaux, les insectes, la nature, les chants des oiseaux, c’est très beau c’est très beau, les arbres, les plantes, les fleurs qui sentent bon, la douce écorce des arbres, la chaleur du soleil, c’est magnifique la nature.

 

Les aveugles n’ont pas de chance, les sourds n’ont pas de chance, les muets n’ont pas de chance,

Les aveugles sourds n’ont vraiment pas de chance,

Les sourds-muets n’ont vraiment pas de chance,

Les muets aveugles n’ont vraiment pas de chance,

Les aveugles sourds muets n’ont vraiment vraiment pas de chance.

 

Quand les feuilles sont: rouges, marrons ou jaunes, quand les feuilles tombent, quand le vent souffle, quand il pleut, il n’y a pas à hésiter c’est l’automne.

 

 

Commentaires

  1. J'adore ta poésie.
    C'est très sensible, et les images sont très belles.
    On décolle, avec tes mots !

    bisous
    papa

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Articles les plus consultés